Il ne faudrait pas penser que ce blog va sombrer dans le noir et notre vie dans la déprime.
Bien sûr, je suis en train de publier tout ce qui nous a amenés à ce lundi de mars qui devait être aussi ordinaire que les autres…
Bien sûr surtout, il y a les coups de blues et ceux de désarroi. Je sais que notre humeur dépendra de ce que nous impose l’enquête, et des suites du procès.
Mais je n’aime pas qu’on se serve de ce qui nous arrive pour se désoler que décidément, la vie est bien moche, ma bonne dame, et en plus il fait même pas beau (véridique).
Je n’arrive pas à comprendre ceux qui se plaignent de la dureté de la vie, surtout quand ils n’ont pas vraiment à se plaindre.
En tout cas, qu’il ne plaigne pas la nôtre. Qu’ils ne décident pas à notre place que nous sommes malheureux.
Parce que nous ne le sommes pas.
(Mise à par la première, toutes les photos datent des 6 derniers mois, la plupart de cet été.)