Oui, vous savez, les devoirs scolaires...
Ceux qui sont interdits depuis des décennies, du moins en primaire, mais que nos enfants petits et grands ramènent chaque soir de l'école comme une punition...
C'est rarement autre chose qu'une vraie galère avec Viking, qui refuse de les faire (je comprends, mais pas le choix, quand on va à l'école on doit se plier aux règles...).
Quant à Princesse, hyper sérieuse jusqu'en CM2, elle nous a étonnés, et pas dans le bon sens: devoirs non faits, ou bâclés, et, pour sortir du sujet des devoirs, cour plus ou moins séché (avec disons plus ou moins une excuse, mais on sait elle et moi qu'elle était "bidon"), insolence et je-m'en-foutisme; elle est apparemment déjà cataloguée par les profs. Bref, le collège démarre bien mal, même si elle s'est très vite reprise - suite à notre intervention bien sûr.
En tout cas, les devoirs, ras-le-bol!
Surtout quand on fait réciter une leçon sur les sons, que Princesse a ingurgité par cœur ou presque. L'intérêt, franchement? Déjà aucun pour elle qui est très bonne en orthographe.
Et je me prends à rêver...
D'une école où on expliquerait aux enfants le pourquoi des devoirs, de l'inévitable mémorisation de certaines choses et de l'importance des exercices pour fixer les choses, s'entraîner...
Ne pas apprendre et faire des exercices d'application, c'est dommageable pour soi, et uniquement - non, on ne travaille pas pour éviter une punition...
Et surtout, une école où l'enfant serait libre de faire les exercices qui lui semblent essentiel à lui.
Je m'explique: Princesse a perdu du temps à apprendre par cœur une leçon totalement inutile pour elle, alors que ce temps, elle aurait pu le mettre à profit pour faire davantage de maths, matière où elle peine davantage.
Je n'invente rien d'ailleurs, il s'agit d'encourager l'enfant à être autonome dans ses apprentissages (et donc ceux-ci ce passent mieux); si ça pouvait se généraliser dans les écoles lambda...
Voilà, je rêve, je rêve...Et sinon, ils ont quoi à faire pour lundi, déjà?
Friday, September 24, 2010
Wednesday, September 15, 2010
Ca marche!
D'habitude, je reprends mon entourage.
Les choses ne marchent pas, faute de jambes, donc elles fonctionnent.
Mais cette fois, on peut l'utiliser, ce verbe mis à toutes les sauces.
Effectivement, Libellule ne fonctionne pas, elle marche :-)
Les choses ne marchent pas, faute de jambes, donc elles fonctionnent.
Mais cette fois, on peut l'utiliser, ce verbe mis à toutes les sauces.
Effectivement, Libellule ne fonctionne pas, elle marche :-)
Sunday, September 12, 2010
Perte de temps
Nous avons une boîte en métal dans laquelle nous entreposons le café soluble - nous ne buvons que du café soluble. La boîte est sur le réfrigérateur.
Hier matin, je me suis souvenue que j'avais fini le café la veille, que je devais donc ouvrir un nouveau paquet et en transvaser le contenu dans notre boîte en métal.
Problème, le paquet n'était plus à la place où nous l'avions posé en rangeant les courses quelques jours plus tôt, c'est-à-dire sur le frigo, à côté de la boîte en métal (vous suivez?)
J'ai cherché partout, dans tous les placards de la cuisine, j'ai recherché et rerecherché.
Et soudain, j'ai eu un éclair de génie. J'ai attrapé la boîte en métal, bien lourde pour une boîte vide...
Gagné, le café y était déjà!
C'est pénible, ces hommes organisés qui nous font perdre notre temps! :-D
Hier matin, je me suis souvenue que j'avais fini le café la veille, que je devais donc ouvrir un nouveau paquet et en transvaser le contenu dans notre boîte en métal.
Problème, le paquet n'était plus à la place où nous l'avions posé en rangeant les courses quelques jours plus tôt, c'est-à-dire sur le frigo, à côté de la boîte en métal (vous suivez?)
J'ai cherché partout, dans tous les placards de la cuisine, j'ai recherché et rerecherché.
Et soudain, j'ai eu un éclair de génie. J'ai attrapé la boîte en métal, bien lourde pour une boîte vide...
Gagné, le café y était déjà!
C'est pénible, ces hommes organisés qui nous font perdre notre temps! :-D
Thursday, September 09, 2010
Mon père
Ma sœur m'a téléphoné dimanche matin, pour m'annoncer que notre père avait été hospitalisé.
Mon père à l'hôpital, ce n'est pas nouveau pour moi. J'ai dit à Mister k que je ne savais quoi en penser... "cette fois, ça l'air sérieux", m'a-t-il répondu. Il avait vu ma mère la veille, celle-ci lui avait fait part de son inquiétude concernant mon père.
Il a de graves soucis de santé depuis longtemps. Il a été opéré il y a peu, opération légère, mais quand même.
Pendant 3 jours, ce fut un flottement désagréable, grave, pas grave? Suites d'opération? Autre chose? Le premier hôpital l'a renvoyé à la maison, le médecin de famille l'a fait hospitalisé le lendemain dans l'hôpital parisien qui le suit depuis longtemps.
Les médecins du premier hôpital, celui de la préfecture de Seine-et-Marne, sachez-le au-cas-où, a renvoyé chez lui un patient de 73 ans, agité à l'extrême, tenant des propos incohérents, sans avoir découvert ce qu'il avait.
C'est un AVC.
On ne sait pas ce qui va se passer exactement. On attend. On ne peut faire que ça. Voir comment ça va évoluer.
Et je cogite.
Mon père... On ne s'est jamais compris lui et moi, trop différents, à l'opposé l'un de l'autre. Tellement, qu'on n'a jamais pu se rejoindre. Il m'énerve autant que je l'énerve. Il est très pénible à supporter au quotidien, ses défauts ont trop débordé sur ses qualités. Il n'a pas su construire de bons rapports avec ses enfants.
Mais voilà... C'est mon père. C'est le géant de mon enfance. C'est l'un des piliers de mon existence.
Mon père.
Je l'aime, mal, mais je l'aime, et je sais que c'est réciproque.
Je ne regrette rien, on n'aurait pas pu s'aimer autrement lui et moi. On s'aime, c'est le principal.
Et je ne suis pas prête à accepter de vivre dans un monde où il serait fortement diminué, dépendant, en dehors de lui-même. Loin de nous, loin de lui... C'est peut-être, certainement, sans doute, ce à quoi il faut s'attendre pourtant, et non, je ne peux pas, je refuse.
Je ne suis pas prête non plus à vivre dans un monde où il ne serait plus. On s'est dangereusement approchés de ce monde-là, inévitable de toute façon, puisque la roue tourne, mais non, je ne suis pas prête. Un monde sans mon père, sans ma mère, c'est la première fois que je le touche du bout du doigt, et non, je ne veux pas, je ne peux pas l'accepter.
Face à la mort de ses parents, on a toujours 5 ans, même quand on en a 30 de plus.
Mon père à l'hôpital, ce n'est pas nouveau pour moi. J'ai dit à Mister k que je ne savais quoi en penser... "cette fois, ça l'air sérieux", m'a-t-il répondu. Il avait vu ma mère la veille, celle-ci lui avait fait part de son inquiétude concernant mon père.
Il a de graves soucis de santé depuis longtemps. Il a été opéré il y a peu, opération légère, mais quand même.
Pendant 3 jours, ce fut un flottement désagréable, grave, pas grave? Suites d'opération? Autre chose? Le premier hôpital l'a renvoyé à la maison, le médecin de famille l'a fait hospitalisé le lendemain dans l'hôpital parisien qui le suit depuis longtemps.
Les médecins du premier hôpital, celui de la préfecture de Seine-et-Marne, sachez-le au-cas-où, a renvoyé chez lui un patient de 73 ans, agité à l'extrême, tenant des propos incohérents, sans avoir découvert ce qu'il avait.
C'est un AVC.
On ne sait pas ce qui va se passer exactement. On attend. On ne peut faire que ça. Voir comment ça va évoluer.
Et je cogite.
Mon père... On ne s'est jamais compris lui et moi, trop différents, à l'opposé l'un de l'autre. Tellement, qu'on n'a jamais pu se rejoindre. Il m'énerve autant que je l'énerve. Il est très pénible à supporter au quotidien, ses défauts ont trop débordé sur ses qualités. Il n'a pas su construire de bons rapports avec ses enfants.
Mais voilà... C'est mon père. C'est le géant de mon enfance. C'est l'un des piliers de mon existence.
Mon père.
Je l'aime, mal, mais je l'aime, et je sais que c'est réciproque.
Je ne regrette rien, on n'aurait pas pu s'aimer autrement lui et moi. On s'aime, c'est le principal.
Et je ne suis pas prête à accepter de vivre dans un monde où il serait fortement diminué, dépendant, en dehors de lui-même. Loin de nous, loin de lui... C'est peut-être, certainement, sans doute, ce à quoi il faut s'attendre pourtant, et non, je ne peux pas, je refuse.
Je ne suis pas prête non plus à vivre dans un monde où il ne serait plus. On s'est dangereusement approchés de ce monde-là, inévitable de toute façon, puisque la roue tourne, mais non, je ne suis pas prête. Un monde sans mon père, sans ma mère, c'est la première fois que je le touche du bout du doigt, et non, je ne veux pas, je ne peux pas l'accepter.
Face à la mort de ses parents, on a toujours 5 ans, même quand on en a 30 de plus.
Monday, September 06, 2010
Ah, les filles!
Premier vrai jour de collège en ce lundi matin.
J'avais mis le réveil à 6h50, je suis allée réveillée Princesse immédiatement.
J'ai pris ma douche, je me suis habillée, je suis allée acheter du bon pain frais, je suis revenue à 7h15, Princesse était en train de se faire une queue de cheval.
J'ai commencé à petit-déjeuner, puis à 7h20 j'ai réalisé qu'il était quand même 7h20 (oui des fois on lit l'heure mais on ne réalise pas les implications que ça entraîne), je suis retournée la voir... Elle se faisait toujours sa queue de cheval.
Elle a eu le temps de se prendre un petit-dèj sur le pouce, puis de se brosser les dents fissa fissa (une étape importante vu qu'elle porte un appareil dentaire), les copains l'attendaient en bas, mais la maman qui les a emmenés en voiture ce matin m'a ensuite téléphoné, ils étaient à l'heure.
Auparavant, pendant qu'elle mettait ses chaussures, je lui ai dit qu'il n'était pas question que je me lève avant 6h50, que si elle voulait davantage de temps pour se préparer (mais combien de temps faut-il pour se coiffer? heureusement, elle ne se maquille pas encore!) il faudrait qu'elle mette à sonner plus tôt un réveil (parce que 6h50, c'est mon maximum, après 2 à 3 réveils - parfois plus- la nuit pour Libellule!)
Elle est ok, elle trouve ça plutôt chouette même... et moi aussi, tiens.
Sauf que j'ai oublié d'acheter un réveil hier. Vous me direz que j'aurais pu lui filer le mien, mais déjà je n'ai pas de réveil, c'est mon téléphone portable qui me réveille, et en plus, comment je fais pour me réveiller à 6h50 moi, si je n'ai plus rien pour me réveiller?
Ce matin donc, nouveau réveil à 6h50. Réveil immédiat de Princesse. Passage dans la salle de bain pour moi... 20 minutes après (oui, j'ai pris mon temps :-) ), j'ai trouvé dans la salle de séjour une Princesse habillée coiffée bijoutée (oui, j'avais oublié les bijoux) en train de prendre son petit-déjeuner.
Cette fois, c'est nous qui avons attendu les copains dans la rue! Je crois que finalement, nous n'aurons pas à avancer l'heure du réveil (mais que ça ne m'empêche pas d'acheter un réveil à Princesse malgré tout!)
J'avais mis le réveil à 6h50, je suis allée réveillée Princesse immédiatement.
J'ai pris ma douche, je me suis habillée, je suis allée acheter du bon pain frais, je suis revenue à 7h15, Princesse était en train de se faire une queue de cheval.
J'ai commencé à petit-déjeuner, puis à 7h20 j'ai réalisé qu'il était quand même 7h20 (oui des fois on lit l'heure mais on ne réalise pas les implications que ça entraîne), je suis retournée la voir... Elle se faisait toujours sa queue de cheval.
Elle a eu le temps de se prendre un petit-dèj sur le pouce, puis de se brosser les dents fissa fissa (une étape importante vu qu'elle porte un appareil dentaire), les copains l'attendaient en bas, mais la maman qui les a emmenés en voiture ce matin m'a ensuite téléphoné, ils étaient à l'heure.
Auparavant, pendant qu'elle mettait ses chaussures, je lui ai dit qu'il n'était pas question que je me lève avant 6h50, que si elle voulait davantage de temps pour se préparer (mais combien de temps faut-il pour se coiffer? heureusement, elle ne se maquille pas encore!) il faudrait qu'elle mette à sonner plus tôt un réveil (parce que 6h50, c'est mon maximum, après 2 à 3 réveils - parfois plus- la nuit pour Libellule!)
Elle est ok, elle trouve ça plutôt chouette même... et moi aussi, tiens.
Sauf que j'ai oublié d'acheter un réveil hier. Vous me direz que j'aurais pu lui filer le mien, mais déjà je n'ai pas de réveil, c'est mon téléphone portable qui me réveille, et en plus, comment je fais pour me réveiller à 6h50 moi, si je n'ai plus rien pour me réveiller?
Ce matin donc, nouveau réveil à 6h50. Réveil immédiat de Princesse. Passage dans la salle de bain pour moi... 20 minutes après (oui, j'ai pris mon temps :-) ), j'ai trouvé dans la salle de séjour une Princesse habillée coiffée bijoutée (oui, j'avais oublié les bijoux) en train de prendre son petit-déjeuner.
Cette fois, c'est nous qui avons attendu les copains dans la rue! Je crois que finalement, nous n'aurons pas à avancer l'heure du réveil (mais que ça ne m'empêche pas d'acheter un réveil à Princesse malgré tout!)
Friday, September 03, 2010
Vivre à deux
Dans mon précédent billet, j'ai parlé de semaines houleuses concernant mon couple, en réalité, ce n'étaient pas des semaines houleuses, mais des semaines de réajustements, de rééquilibrage, de remises en cause.
J'ai réalisé que vivre en couple, ce n'était pas juste dormir dans le même lit qu'un homme et avoir des enfants de lui.
J'ai compris, appris, que c'était se coucher contre lui le soir, se réveiller avec lui le matin. Que c'était regarder dans la même direction, ajuster ses envies, ses besoins, trouver l'équilibre entre ceux de chacun. Accepter les différences, de vie, d'envie, de points de vue, composer la nouveauté avec le tout. Vivre avec lui sans s'oublier soit, et inversement. Partager, tout en gardant son jardin secret, et en laissant l'autre avoir le sien. Faire attention à lui, autant qu'il fait attention à nous. L'aimer, le regarder.. Être à ses côtés, pas simplement à côté de lui.
Autant de choses pas évidentes, après des années de célibat pour l'un comme pour l'autre, et dans l'urgence dans laquelle a débuté notre couple: grossesse difficile, déménagement...
Lui et moi, c'était déjà solide, mais c'est devenu magique.
Je découvre combien une vie de couple est un mélange de complications - faire avec l'autre tout en gardant son intégrité - et de simplicité - avoir envie que ça marche et s'en donner les moyens.
Je ne savais pas, avant, que la vie de couple, c'était une aventure. Je m'étonne qu'on n'en parle pas plus, qu'il n'y ait pas plus de littérature à ce sujet - il y en a tellement sur l'éducation et la pédagogie! Apprendre à vivre en couple n'est pourtant pas plus évident qu'apprendre à être parent.
Pour finir, une anecdote: j'ai lu quelque part que dans tous les couples, il y a dix points sur lesquels les partenaires ne seront jamais d'accord.
Mister k et moi avons cherché, on n'a pas trouvé ces 10 points. Juste trois, concernant le linge: on ne plie pas les tee-shirts de la même manière, on ne positionne pas les cintres dans le même sens, et je tends les tee-shirts par le bas pour les faire sécher, lui par le haut. Questions d'habitude, pour lui comme pour moi. Ca va, on va pouvoir surmonter ça!
J'ai réalisé que vivre en couple, ce n'était pas juste dormir dans le même lit qu'un homme et avoir des enfants de lui.
J'ai compris, appris, que c'était se coucher contre lui le soir, se réveiller avec lui le matin. Que c'était regarder dans la même direction, ajuster ses envies, ses besoins, trouver l'équilibre entre ceux de chacun. Accepter les différences, de vie, d'envie, de points de vue, composer la nouveauté avec le tout. Vivre avec lui sans s'oublier soit, et inversement. Partager, tout en gardant son jardin secret, et en laissant l'autre avoir le sien. Faire attention à lui, autant qu'il fait attention à nous. L'aimer, le regarder.. Être à ses côtés, pas simplement à côté de lui.
Autant de choses pas évidentes, après des années de célibat pour l'un comme pour l'autre, et dans l'urgence dans laquelle a débuté notre couple: grossesse difficile, déménagement...
Lui et moi, c'était déjà solide, mais c'est devenu magique.
Je découvre combien une vie de couple est un mélange de complications - faire avec l'autre tout en gardant son intégrité - et de simplicité - avoir envie que ça marche et s'en donner les moyens.
Je ne savais pas, avant, que la vie de couple, c'était une aventure. Je m'étonne qu'on n'en parle pas plus, qu'il n'y ait pas plus de littérature à ce sujet - il y en a tellement sur l'éducation et la pédagogie! Apprendre à vivre en couple n'est pourtant pas plus évident qu'apprendre à être parent.
Pour finir, une anecdote: j'ai lu quelque part que dans tous les couples, il y a dix points sur lesquels les partenaires ne seront jamais d'accord.
Mister k et moi avons cherché, on n'a pas trouvé ces 10 points. Juste trois, concernant le linge: on ne plie pas les tee-shirts de la même manière, on ne positionne pas les cintres dans le même sens, et je tends les tee-shirts par le bas pour les faire sécher, lui par le haut. Questions d'habitude, pour lui comme pour moi. Ca va, on va pouvoir surmonter ça!
Thursday, September 02, 2010
Se remettre dans le bain
L'eau passe doucement sous les ponts de ce blog...
J'ai tellement de choses à dire...
Qu'on a mis en place une boîte à gros mots et que honte à moi, c'est moi qui y ai le plus contribué jusqu'ici!
Que je suis tombée suffisamment malade pour être embarquée par le SAMU un soir de la semaine dernière... Rien de grave finalement, juste 5 kg en moins, et mon corps bien maigre d'un coup!
Que nous continuons notre travail de désencombrement de l'appartement, que les places libres sont de plus en plus nombreuses et que nous évitons de réencombrer aussitôt!
Qu'après quelques semaines houleuses, mon couple est devenu plus fort et plus beau.
Que j'ai le cœur qui se serre plus que jamais à voir mes enfants grandir dans une douleur folle.
Que Viking a eu 8 ans, qu'il a beaucoup changé, qu'il s'est beaucoup calmé, moins de sucres, moins d'écrans, un début de maturité, beaucoup de souffrance contenue.
Que Princesse est magnifique même si elle refuse de le voir, qu'elle rentre dans l'adolescence en étant si perturbée et déprimée.
Qu'ils ont bien du mal à vivre les visites à leur père une fois par mois, dans un lieu médiatisé, ce père qui refuse d'avouer et de demander pardon, que c'est dur, si dur pour eux.
Que des réponses vont enfin être apportées cette année, où le procès devrait enfin avoir lieu.
Que mon combat continuera après, que j'ai envie de dénoncer les mauvais rouages de la justice.
Que les vacances sont passées bien vite, dans un émerveillement quotidien, parce que la vie est belle, malgré ce gros nuage noir au dessus de nous.
Que j'écris peu ici parce que Libellule demande une attention constante, et aussi parce que j'ai envie de la regarder, simplement, elle est formidable, et aussi parce que je lis à nouveau beaucoup et je fais des choses futiles comme broder.
Que nous commençons enfin à nous organiser et que les billets seront à nouveau plus nombreux.
Que la rentrée nous a surpris ce matin après un été passé trop vite.
Que Viking est rentré en CE2 avec une maîtresse qu'il n'aime pas... mais à midi, il avait changé d'opinion, elle est gentille, et lui a demandé plein de fois de distribuer les feuilles aux camarades.
Que Princesse est rentrée en 6ème ce matin, très stressée, elle est dans la même classe que ses copains les plus proches.
Que je suis confiante pour eux deux, sur le plan scolaire, même si eux se sentent nuls et
inférieurs.
Qu'une fois de plus je les ai vus grandir sans regrets, avec bonheur pour eux.
Et que je vous remercie de lire ce blog, pas toujours régulier, pas toujours rose, pas toujours intéressant, à l'image de ma vie.
Voilà, juste merci à vous :-)
J'ai tellement de choses à dire...
Qu'on a mis en place une boîte à gros mots et que honte à moi, c'est moi qui y ai le plus contribué jusqu'ici!
Que je suis tombée suffisamment malade pour être embarquée par le SAMU un soir de la semaine dernière... Rien de grave finalement, juste 5 kg en moins, et mon corps bien maigre d'un coup!
Que nous continuons notre travail de désencombrement de l'appartement, que les places libres sont de plus en plus nombreuses et que nous évitons de réencombrer aussitôt!
Qu'après quelques semaines houleuses, mon couple est devenu plus fort et plus beau.
Que j'ai le cœur qui se serre plus que jamais à voir mes enfants grandir dans une douleur folle.
Que Viking a eu 8 ans, qu'il a beaucoup changé, qu'il s'est beaucoup calmé, moins de sucres, moins d'écrans, un début de maturité, beaucoup de souffrance contenue.
Que Princesse est magnifique même si elle refuse de le voir, qu'elle rentre dans l'adolescence en étant si perturbée et déprimée.
Qu'ils ont bien du mal à vivre les visites à leur père une fois par mois, dans un lieu médiatisé, ce père qui refuse d'avouer et de demander pardon, que c'est dur, si dur pour eux.
Que des réponses vont enfin être apportées cette année, où le procès devrait enfin avoir lieu.
Que mon combat continuera après, que j'ai envie de dénoncer les mauvais rouages de la justice.
Que les vacances sont passées bien vite, dans un émerveillement quotidien, parce que la vie est belle, malgré ce gros nuage noir au dessus de nous.
Que j'écris peu ici parce que Libellule demande une attention constante, et aussi parce que j'ai envie de la regarder, simplement, elle est formidable, et aussi parce que je lis à nouveau beaucoup et je fais des choses futiles comme broder.
Que nous commençons enfin à nous organiser et que les billets seront à nouveau plus nombreux.
Que la rentrée nous a surpris ce matin après un été passé trop vite.
Que Viking est rentré en CE2 avec une maîtresse qu'il n'aime pas... mais à midi, il avait changé d'opinion, elle est gentille, et lui a demandé plein de fois de distribuer les feuilles aux camarades.
Que Princesse est rentrée en 6ème ce matin, très stressée, elle est dans la même classe que ses copains les plus proches.
Que je suis confiante pour eux deux, sur le plan scolaire, même si eux se sentent nuls et
inférieurs.
Qu'une fois de plus je les ai vus grandir sans regrets, avec bonheur pour eux.
Et que je vous remercie de lire ce blog, pas toujours régulier, pas toujours rose, pas toujours intéressant, à l'image de ma vie.
Voilà, juste merci à vous :-)
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